Vers une nouvelle régulation énergétique : les formations virtuelles des professionnels des secteurs africains des services publics et de l’énergie se poursuivent
La deuxième formation virtuelle à la régulation énergétique assurée par Power Futures Lab (PFL) et appuyée par le Partenariat Afrique-UE pour l’énergie (PAEE) va démarrer le 22 novembre.
La formation Managing Power Sector Reform And Regulation (gestion de la réforme et de la réglementation du secteur énergétique) en Afrique veut permettre aux délégués de contribuer à la réforme du secteur de l’énergie et d’offrir des services durables et abordables à tous, tout en accélérant la croissance économique. De plus, elle indiquera aux participants comment se concentrer sur les besoins de l’Afrique tout en acquérant les meilleures pratiques internationales en matière de gestion de la réforme et du nouveau cadre réglementaire.
Cette formation, qui prendra fin début décembre, est organisée en partenariat avec le Forum africain des régulateurs des services publics, l’Association régionale des régulateurs de l’électricité (Regional Electricity Regulators Association) et l’école de régulation de Florence (Florence School of Regulation).
Le PAEE s’associe à PFL, un centre d’excellence de pointe installé à l’université du Cap, pour organiser trois formations virtuelles sur la régulation de l’énergie. Le cycle a commencé en août 2021 avec la formation consacrée à la modélisation financière pour la fixation des tarifs des services publics (Financial Modelling for Utility Tariff Setting). La troisième formation virtuelle mettra l’accent sur le financement, les contrats et l’atténuation des risques pour les investissements privés dans le secteur de l’énergie (Finance, Contracts and Risk Mitigation for Private Power Investments).
Destinées aux professionnels du secteur africain des services publics et énergétiques, les formations visent à améliorer les compétences spécialisées nécessaires pour concevoir des cadres réglementaires efficaces pour les services énergétiques modernes. De plus, en renforçant les capacités de régulation de l’énergie, les formations sont conçues pour contribuer au développement d’une école africaine de régulation élargie.
